La cancel culture
Les transgenristes appellent leur communauté à nous “cancel”. Ils tentent d'effacer nos noms de l’Histoire en niant notre apport au féminisme : le compte T’as Joui, pionnier des comptes sexo féministes en France est régulièrement “oublié” quand on parle de sexo-féminisme, et les collages contre les féminicides créés par Marguerite Stern, sont régulièrement présentés comme une oeuvre collective sans réelle initiatrice. Ce procédé est utilisé depuis des millénaires pour discréditer les femmes et nier leur apport à l’humanité.
Quand la cancel-culture vient de monde associatif, institutionnel et journalistique
Le monde associatif, institutionnel et journalistique cède fréquemment aux pressions exercées par les transgenristes qui souhaitent que nous n’apparaissions plus nulle part. Notre participation à des évènements est annulée, nos noms effacés dans des articles des presse qui parlent pourtant de nos productions…
Appels à unfollow @tasjoui
Ils appellent à ne plus nous suivre et à signaler le compte Instagram de Dora Moutot @tasjoui, afin qu’elle perde de l’audience. Ils vont jusqu’à harceler les marques avec lesquelles Dora Moutot noue des partenariats, de sortes à ce qu’elles annulent les contrats.
Tentatives de faire sUPPRIMER nos comptes DE DONS Tipeee et Patreon
Les transgenristes tentent de faire supprimer nos différents comptes sur les réseaux sociaux, ainsi que nos pages dédiés aux dons, en lançant ce qu’ils appellent des “raids”.
Étiquettes “Transphobe” sur les livres de Dora Moutot dans les librairies et harcèlement de certains libraires
Dans le but de nuire à Dora Moutot, certains vont coller des étiquettes “transphobe” sur ces livres dans les librairies et appellent leur communauté à faire de même.