La diffamation et les fausses accusations
Dans les sphères médiatiques, militantes, associatives, universitaires, sur les réseaux sociaux, nous sommes diffamées et qualifiées de transphobes parce que nous disons qu’être une femme est une réalité biologique. La diffamation est utilisée comme outil pour nous discréditer et créer une fausse réputation.
Nous sommes aussi qualifiées d’être militantes d’extrême droite, fascistes, complotistes, islamophobes, putophobes, validistes, antisémites et d’être des “white feminist” représentantes de la “suprématie blanche”.
La diffamation se fait à travers des posts sur les réseaux sociaux, des messages privés, ainsi que par voie de presse.
Lire nos droits de réponse aux articles de presse diffamants.