Vers un scandale sanitaire ? Le Canada ouvre sa première clinique dédiée aux soins post-vaginoplasties.
L’information provient du média The Post Millenium. Le Canada ouvre sa première clinique dédiée à soigner les hommes ayant subi une vaginoplastie. Cette opération consiste en l’ablation du pénis et des testicules afin de recréer une sexe d’apparence féminine. Douleurs chroniques, problèmes de miction, saignements : les conséquences d’une telle opération peuvent être très lourdes.
Selon une étude menée sur 80 patients s’étant rendus dans cette clinique :
53,8% sont atteints de douleurs chroniques ;
46,3% ont des problèmes liés à la dilatation de leur orifice (le tissu du “néo-vagin” créé lors de la chirurgie tend à se refermer) ;
42,5% ont des saignements ;
38,8% sont atteints d’hypergranulation (mauvaise cicatrisation entrainant l’apparition d’excroissances de peau) ;
18,8% éprouvent des problèmes liés à la fonction urinaire ;
11,3% ne peuvent plus atteindre d’orgasme ;
11,3% sont atteints de dyspareunie (douleurs lors des rapports sexuels ou après).
L’âge moyen des patients est de 39 ans, le plus jeune ayant 19 ans et le plus âgé 73 ans.
Le Canada, près avoir connu une forte augmentation des demandes de vaginoplasties ces dernières années (actuellement 200 par an seulement pour l’Ontario), se trouve maintenant confronté aux problèmes de santé que peuvent engendrer de telles opérations. La nécessité de l’ouverture d’une telle clinique en est la triste preuve, et fait écho au scandale sanitaire de la “clinique du genre” Tavistock, actuellement poursuivie par plus de 1000 familles qui estiment qu’on leur a menti concernant les dommages irréversibles de transitions sur la santé de leurs enfants.
