Notre contributrice Alice (@libre.et.impolie sur Instagram) remet l’Église au milieu du village concernant l’intersexuation.
Les termes “Femelliste”, “Femellisme”, ou “Femellité” ne sont pas nouveaux. Ils sont employés depuis plusieurs années par différentes personnes et collectifs. Nous ne revendiquons donc pas la maternité de ce terme. Cependant, nous pensons que si plusieurs femmes autour du monde ont commencé à l’utiliser, c’est que sa fonction est de plus en plus nécéssaire.
L’acronyme “TERF” signifie “Trans Exclusionary Radical Feminists” (littéralement “Féministes Radicales qui Excluent les personnes Trans”.) Il est utilisé par les transgenristes pour désigner les féministes critiques du genre qui ne se reconnaissent globalement pas dans ce terme. Définition.
Elles sont accusées de transphobie parce qu’elles osent s’opposer à l’idéologie transgenre (transgenrisme). On les nomme “féministes universalistes”, “féministes radicales”, “radfem”, “gender critical” ou encore “TERF” : que prônent réellement les féministes critiques du genre ?
L’idéologie transgenre (ou transgenrisme) se présente comme une forme d’avant-garde alliant progrès social et technique. Pourtant, derrière ce beau costume, se cache une nouvelle forme d’homophobie particulièrement dangereuse pour les droits des lesbiennes. Explications.
Actuellement, dans les milieux militants, universitaires, médiatiques ou politiques, certaines personnes nient la réalité de la sexuation, allant jusqu’à déclarer que le sexe “n’existe” pas, qu’il est “assigné à la naissance”, ou qu’un “pénis de femme” est une réalité. Le genre est brandit comme seul outil de différenciation entre femmes et hommes tandis que le sexe est rejeté comme critère valable pour définir un individu. Mise au point.
Femmes et hommes n’ont pas les mêmes capacités physiques. Pourtant, des hommes qui se déclarent femmes (femmes trans) s’invitent désormais régulièrement sur les podiums féminins. Focus sur cet entrisme du transgenrisme dans les compétitions sportives des femmes qui révolte les féministes.
Actuellement, une confusion règne entre homosexualité et transidentité ; les deux sont souvent associés. Pourtant la première est une orientation sexuelle, alors que la deuxième concerne la construction identitaire, la définition de soi. Détricottons cela ensemble.
Chez l’être humain, le dimorphisme sexuel (c’est-à-dire les différences entre les individus de sexe féminin et les individus de sexe masculin) est faible par rapport à d’autres espèces du règne animal, mais reste tout de même non négligeable. Retour à vos cours de SVT.