Notre contributrice Alice (@libre.et.impolie sur Instagram) remet l’Église au milieu du village concernant l’intersexuation.
Le 5 décembre 2022, le journal Le Monde publiait une tribune signée par plus de 150 personnes titrée “les jeunes trans existent il est temps de reconnaître leurs droits et de répondre à leurs besoins”. Notre contributrice Zest de Gravity réagit.
Dans un article publié le 25 Janvier 2023, la Caisse d’Allocations Familiales (CAF) encourage les familles de personnes qui se déclarent transgenres, à ne surtout pas questionner cette démarche et à l’accueillir positivement. S’il est plutôt bienvenue qu’une institution étatique se préoccupe de la santé des personnes trans, il est en revanche regrettable qu’elle omette d’interroger les personnes qui observent des effets délétères que peut entrainer une transition sur la santé (corps médical, collectifs de parents d’enfants trans, personnes detrans, etc). Décryptage.
L’information provient du média The Post Millenium. Le Canada ouvre sa première clinique dédiée à soigner les hommes ayant subi une vaginoplastie. Cette opération consiste en l’ablation du pénis et des testicules afin de recréer une sexe d’apparence féminine. Douleurs chroniques, problèmes de miction, saignements : les conséquences d’une telle opération peuvent être très lourdes.
Actuellement, dans les milieux militants, universitaires, médiatiques ou politiques, certaines personnes nient la réalité de la sexuation, allant jusqu’à déclarer que le sexe “n’existe” pas, qu’il est “assigné à la naissance”, ou qu’un “pénis de femme” est une réalité. Le genre est brandit comme seul outil de différenciation entre femmes et hommes tandis que le sexe est rejeté comme critère valable pour définir un individu. Mise au point.
Chez l’être humain, le dimorphisme sexuel (c’est-à-dire les différences entre les individus de sexe féminin et les individus de sexe masculin) est faible par rapport à d’autres espèces du règne animal, mais reste tout de même non négligeable. Retour à vos cours de SVT.